Baskets aux pieds du 3 au 9 aout 2015

Après un mois de juillet pas florissant avec mes baskets pour cause de chaleur puis d’un mauvais coup de la vie, l’envie de m’aérer la tête est doucement revenue.

Tout doucement l’idée à fait son chemin mais pas envie de m’obliger à quoi que se soit.

Je ne DOIS pas courir, non je CHOISIS de courir parceque ça fait du bien tant à mon corps qu’à mon esprit …. et en ce moment surtout à mon moral.

Lundi : repos

Mardi : repos

Mercredi : Run

Voilà je ne savais pas si j’irai ou pas. J’avais rien prévu. Et puis hop en me levant j’ai ressenti cette force attractive de mes baskets toutes neuves acquises pendant les soldes qui attendaient sagement que leur heure vienne. C’était ce mercredi. On reprend le chemin habituel. Bizarrement, les jambes vont très bien et arrivent à suivre le rythme de Jypso, lui aussi trop content enfin d’aller se défouler les pattes. Un run salvateur pour le moral.

Jeudi : Run

Réveillée à 5h20, tourner 20 min dans le lit et décider de se lever pour aller courir. Profiter de la fraicheur toute relative à cette heure là, déjà 20 °C, en voyant le jour se lever. Pas mal aux jambes malgré la sortie de la veille. Comme l’impression que le repos de juillet (enfin le non run car j’ai pas mal marché qd même) après la reprise de juin a été bénéfique. Bref 5 km qui font du bien tout simplement.

Vendredi : repos

Samedi : repos

Dimanche : Run

Une sortie en famille, le mini en vélo pour accompagné Mr Baskets et moi tracté par le chien. Bon les jambes se laissent aller mais bon ça tire un peu derrière la cuisse droite. GRRRRR. j’espère juste que c’est du à la reprise de cette semaine et non le retour de cette fichue douleur qui m’a handicapée au premier semestre. J’apprécie tout de même les températures bien plus fraiche de cette journée pluvieuse et le vent qui souffle dans mes oreilles. Et courir accompagné c’est quand bien bien agréable 🙂 . 

Bilan : que c’est bon de chausser ses baskets, de profiter de la nature, du soleil, du vent, de ne penser à rien d’autre qu’à mettre un pied devant l’autre …